vendredi 3 juillet 2009

1er juillet, Fête du Canada

Et pour souligner l’événement, depuis minuit, l’Union de la République Socialiste du Québec, aussi connu sous U.R.S.Q., et le future état socialiste de l’Ontario font maintenant du “Hard Enforcement” sur la loi imposant la mise en fonction obligatoire du limiteur de vitesse de votre camion.


Et il me semblait que le Canada, si au Québec nous voulons nous faire croire que nous sommes une nation, les libertés individuelles font partie de la charte des droits et libertés. Si je pense correctement, nous sommes libres de faire ce que bon nous semble et d’opéré une entreprise tant qu’un gouvernement ne nous place pas un bâton dans les roues. Nous sommes libre de le faire dans le respect des lois et si il n’y en a pas encore, il existe surement un groupe de pression pour en faire mettre une.


Oui je suis frustré en ce jour. Pas parce que c’est le 142e anniversaire du pays auquel nous appartenons encore, mais contre les gouvernements provinciaux qui referment l’étau sur sa population afin de limiter les gains, le bien-être et le gros bon sens.


Avec une autre obligation de plus à rencontrer dans le domaine du transport routier, et celle-ci des plus ridicule, c’est dans le porte-monnaie des voituriers que l’on vient fouiller. Ceci à limiter la possibilité des routiers autonomes de faire un meilleur revenu en allongeant le temps de déplacement vers l’ouest du continent et par la même occasion, diminué les revenus sur les taxes et impôts. Pour compenser, les récalcitrants vont avoir des contraventions.


Le bien-être lui est maintenant mis en cause car, ces voituriers, pour compenser la perte de revenu, devront être sur la route plus longtemps et avoir moins de temps pour leurs familles. Revenir pour ses proches est encore une des priorités et des joies des routiers.


Finalement il reste le gros bon sens. Ceci est une arme absolue pout le citoyen et doit être bannie de notre arsenal. Blague à part, avec les taux de transport actuels, les fluctuations du prix du carburant, les hausses du remplacement des équipements et leur entretien, je ne connais pas d’entrepreneur qui vont rouler au dessus des vitesses prescrites ou celles du flot de circulation pour le simple plaisir de le faire et augmenter les coûts d’opération.


L’activation du limiteur de vitesse d’un camion lourd est, selon moi, une décision administrative de l’entreprise de transport. Ce choix devrait rester ainsi et ne pas devenir ailleurs une obligation gouvernementale. S’il vous reste un peu de courage pour faire valoir vos droits et libertés, combattez cette loi des plus ridicules.

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